Massif "entrée"
Il y a des gens, je l'ai lu, qui donne à chaque massif un nom de chanson ou de compositeur. Il faudrait que j'y pense - mais si je dis "je suis dans le massif de l'entrée" à défaut d'être poétique, cela est au moins opérationnel. Il faudra que j'essaie "je suis dans It's a wonderful world!" Je pense que cela bénéfique pour l'anglais de Louis et pour ses jambes aussi. Bon, encore, un petit espace de réflexion pour cet été.
Normalement, à droite, il y a plein de roses trémières - pour cacher l'entrée de la maison! - Ici, photo avant action désherbage pissenlit et graminées. Girofllée orange, rouge/marron et jaune. Toujours ces bordures pierres balnches - au départ, dans le jardin il y avait tellement de pierres qu'une brouette ou un manche de pioche durait deux ans. Maintenant, je sens à la solidité des matériaux - un emprunt à la théorie de la relativité, la solidité dépend vraiment du référentiel - que le jardin s'est amélioré.
Normalement, à droite, il y a plein de roses trémières - pour cacher l'entrée de la maison! - Ici, photo avant action désherbage pissenlit et graminées. Girofllée orange, rouge/marron et jaune. Toujours ces bordures pierres balnches - au départ, dans le jardin il y avait tellement de pierres qu'une brouette ou un manche de pioche durait deux ans. Maintenant, je sens à la solidité des matériaux - un emprunt à la théorie de la relativité, la solidité dépend vraiment du référentiel - que le jardin s'est amélioré.