Notre jardin écologique
Il y a des plantes et des vrais animaux : écureuils, sangliers - trois - , merle - blessé, se cachant vers le compost -, pie, rouge-gorges, mésanges, lézards verts, une couleuvre... Des scolopendres aussi. Bleus marines. Des vers de terre plein de bonne volonté. Des plantes le plus souvent données par des amis parce qu'elles poussaient bien chez eux. Ici, le terrain est très difficile : à certains endroits la roche mère affleure, l'épaisseur du sol ne dépasse pas 10 cm en de nombreux endroits, c'était une pinède et il reste encore quelques magnifiques grands pins dont les aiguilles acidifient considérablement le sol par endroit, la texture du sol est très lourde. Pour faire court, pour planter des oeillets d'Inde, nous avons au début du utiliser le pic de mineur. A chaque volonté d'oeillet d'Inde, nous tombions sur une énorme pierre. Alors, technique du levier et empilement des grosses pierres pour un jour faire un beau mur en pierres sèches.
Tentative d'améliorer le sol avec du sable de rivière. Un vrai échec. L'herbe pousse difficilement, par endroit oui, par endroit non. Alors terreau + terre, un meilleur résultat. Net.
Une volonté de "faire avec" l'espace naturel. De participer. Un jardin type bordure d'autoroute avec pleins de fleurs à arroser poussant dans un faux sol profond. Nous ne voulions pas. Alors tranquillement, création d'un verger avec des lavandes sauvages en été, des coquelicots au printemps et des anémones dès février. Oh la la, tout est discret mais en développement certain! La production est nulle malgré "gros trous, petits caillloux, aérateurs, compost, terreau et terre naturelle". Mais les bourgeons qui apparaissent nous donnent toujours un espoir énorme (griottes, coings, amandes, cerises, abricots, nashis, jujubes, kakis).
Ce blog, c'est l'histoire douce de ce jardin. Technique et esthétiq
ue. Du potager, des trois pieds de vigne, des chênes, des bulbes mangés par les sangliers, des roses trémières...
Tentative d'améliorer le sol avec du sable de rivière. Un vrai échec. L'herbe pousse difficilement, par endroit oui, par endroit non. Alors terreau + terre, un meilleur résultat. Net.
Une volonté de "faire avec" l'espace naturel. De participer. Un jardin type bordure d'autoroute avec pleins de fleurs à arroser poussant dans un faux sol profond. Nous ne voulions pas. Alors tranquillement, création d'un verger avec des lavandes sauvages en été, des coquelicots au printemps et des anémones dès février. Oh la la, tout est discret mais en développement certain! La production est nulle malgré "gros trous, petits caillloux, aérateurs, compost, terreau et terre naturelle". Mais les bourgeons qui apparaissent nous donnent toujours un espoir énorme (griottes, coings, amandes, cerises, abricots, nashis, jujubes, kakis).
Ce blog, c'est l'histoire douce de ce jardin. Technique et esthétiq
ue. Du potager, des trois pieds de vigne, des chênes, des bulbes mangés par les sangliers, des roses trémières...