Psychanalyse de la relation au Begonia
Le begonia, rouge ou blanc, petites fleurs, c'est un peu comme le geranium. Je ne peux pas. Je ne peux tellement pas qu'il faut sans doute que je m'interroge sur les raisons psychanalytiques qui me poussent à la refuser avec cette force.
1) la mère de Denis en a : mais j'aime bien sa mère.
2) ma mère en a : c'est ma mère je préfère ne pas en discuter en ces lieux.
3) le côté "feuilles épaisses, grasses" me gène. Le côté aussi "fleurs fanées, moisies, pourries" me gène. On ne peut pas bien enlever le pas beau
4) Le bloc "étamines/pistil" jaune qui ressort de ce rouge.
5) Le port tout ratatiné
6) Aucune odeur sympa
7) Je connais quelqu'un qui les plante en lignes : une ligne blanche, une ligne rouge. Jardinier débutant, la marge de progrès existe. Mais quand même!
=> déduction issue d'une autopsychanalysation : c'est une plante presque invisible, qui occupe une place comme on fait du bruit lors d'une invitation chiante pour éviter de s'ennuyer ou de dire des choses vraies - pas forcément agréables de ce fait - Plante bouche trou pour éviter un espace vide. Finalement, j'aime le vide. Et j'aime mieux un beau vrai vide qu'un bouche trou évident!
Paradoxalement, mais vive la psychanalyse, j'adore les gros begonia qui tombent sur le côté tellement leur fleurs sont lourdes.
1) la mère de Denis en a : mais j'aime bien sa mère.
2) ma mère en a : c'est ma mère je préfère ne pas en discuter en ces lieux.
3) le côté "feuilles épaisses, grasses" me gène. Le côté aussi "fleurs fanées, moisies, pourries" me gène. On ne peut pas bien enlever le pas beau
4) Le bloc "étamines/pistil" jaune qui ressort de ce rouge.
5) Le port tout ratatiné
6) Aucune odeur sympa
7) Je connais quelqu'un qui les plante en lignes : une ligne blanche, une ligne rouge. Jardinier débutant, la marge de progrès existe. Mais quand même!
=> déduction issue d'une autopsychanalysation : c'est une plante presque invisible, qui occupe une place comme on fait du bruit lors d'une invitation chiante pour éviter de s'ennuyer ou de dire des choses vraies - pas forcément agréables de ce fait - Plante bouche trou pour éviter un espace vide. Finalement, j'aime le vide. Et j'aime mieux un beau vrai vide qu'un bouche trou évident!
Paradoxalement, mais vive la psychanalyse, j'adore les gros begonia qui tombent sur le côté tellement leur fleurs sont lourdes.