30 nov. Le pas trainant de mon grand-père laissait ses traces comme un escargot sa bave sur les feuilles des haricots. Lire la suite
29 nov. Le tracteur. Le chemin vers les cerisiers. La gravette faisait son bruit caractéristique. Lire la suite
27 nov. Je crois que ma mère nous laissait quelques échappées belles car elle savait que notre vie avait besoin de ces ballades de solitaires de nuit. Lire la suite
26 nov. Nous essayions de faire le moins de bruit possible car la maisonnée était à l’affut de nos escapades nocturnes. Lire la suite
24 nov. Mon grand-père n’avait pas enlevé ses grosses chaussures – il fallait au moins cinq minutes pour les dénouer, les arracher. Lire la suite
23 nov. Puis, au moment où plus aucun bruit ne nous parvenait de la maison, nous sortions de nos lits. Lire la suite
21 nov. On nous couchait. Les malades dans la même pièce pour veiller l’un sur l’autre. Lire la suite