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On nous couchait. Les malades dans la même pièce pour veiller l’un sur l’autre.
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Mon grand-père n’avait pas enlevé ses grosses chaussures – il fallait au moins cinq minutes pour les dénouer, les arracher.
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faisions semblant de dormir.
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En fait, je savais bien, que le chef était ma mère mais j’aimais à rappeler que le vrai chef de notre suprême avait un jour été mon grand-père.
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Puis, au moment où plus aucun bruit ne nous parvenait de la maison, nous sortions de nos lits.
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Les cerisiers en boutons floraux. Les cerisiers en cerises.
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Mais, à cet âge, le jardin ne m’intéressait guère. J’aimais la nature.
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Ce cerisier initialement nain avait, brulure après griffure après éclatement, développé des formes abracadabrantes.
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Régulièrement, depuis que la maison était maison, il prenait la foudre.
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Les grands pins, les lavandes, le magnolia, les roses trémières.
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Puis quand il devint plus malade, nous nous contentâmes d’une fuite dans les jardins.
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Enfant, mon grand-père et moi nous nous sauvions pour nous promener dans la campagne.